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Sa mère, ancien mannequin, est désormais son agent et son père est le chanteur hollandais David Alexander Winter. Ophélie Winter a également un frère, Mickael Winter, avec qui elle partage la passion de la musique. A l’âge de 6 ans, Ophélie se fait remarquer par un producteur. Elle chantera « La chanson des klaxons » en duo avec un jeune garçon, Bob. Ophélie poursuit ses études jusqu’au lycée mais elle en est renvoyée. Elle décide alors de partir avec son frère aux Etats-Unis, d’une part retrouver leur père et d’autre part, pour apprendre le chant et la danse.

De retour en France, Ophélie suit les traces de sa mère en devenant mannequin. En 1992, elle rencontre les frères Nacash, producteurs qui lui enregistrent trois titres. Deux ans plus tard, elle fait la connaissance du chanteur Prince mais aucun titre enregistré en duo ne verra le jour. En 1995, Ophélie Winter fait également ses débuts à la télévision en animant deux émissions musicales, « Hit Machine » et « Dance Machine ». L’animatrice n’en oublie pas pour autant la chanson. Elle a la foi et elle chante, le single « Dieu M’a donné la foi » est sur toutes les lèvres. L’année suivante sort son premier album « No Soucy » qui remporte un succès.

En 1996, Ophélie Winter se tourne vers le cinéma et décroche un petit rôle dans le film de Claude Lelouch, « Hommes, femmes, mode d’emploi ». Elle tourne ensuite aux côtés de Didier Bourdon et Elie Seimoun dans « Tout doit disparaître ». En 1997, elle incarne son propre rôle dans « Bouge ! » puis partage l’affiche avec Jean-Marc Barr dans « Folle d’elle ». En 1998, retour en musique avec le titre « Je marche à l’envers », en avant-goût du deuxième album « Privacy » qui cartonne dans toute l’Europe. En 2000, elle apparaît dans « Les jolies choses » avec Marion Cotillard et Stomy Bugsy. L’année 2002 marque son retour sur la scène musicale avec son troisième album « Explicit Lyrics » qui inclut les tubes « Sache » et « Tout le monde le fait ».